Ce qu'il faut ne pas emporter

«... Heureusement, nous avons pu envoyer par la poste nos gros brodequins de montagne (pour les troquer contre des chaussures de randonnée légères), nos jeans (quelle idée), ces capes de pluie qui pèsent un âne mort, les ustensiles de cuisine, les espardilles, plus lourdes que de simples tongs, et autres bricoles aussi diverses qu'inutiles... »

Iruña - jeudi 20 juillet 1995