Prendre son pied

«... J'ai plaisir à marcher. Je suis endolori et fatigué, mais pas blessé ou meurtri. C'est une différence qui compte pour bien apprécier tout ce que l'on peut voir sur le chemin.
[...]
Les jambes et les pieds se font peu à peu, pas à pas. Ce qui compte c'est d'en prendre soin. C'est amusant comme cette partie délaissée de notre anatomie dans le quotidien, devient le centre d'attention principal dès que l'on part en randonnée...»



Artieda - mardi 29 juillet 1997